Le cerveau n’est pas un organe figé dont chaque région correspondrait à une fonction spécifique comme il était encore admis il y a une ou deux décennies. Il apparait d'une extraordinaire plasticité et même avoir une capacité de régénération dans certaines zones.
Cette plasticité ouvre des perspectives dans la compréhension de son fonctionnement et dans le traitement de pathologies et d'anomalies mentales comme certaines formes d'autisme.
Les implications sont non seulement médicales mais aussi éducatives, politiques… et artistiques.